Le dimanche matin, j'attends de pied ferme mon chauffeur : Le cousin à qui j'ai refourgué mon billet.
L'olibrius est allé la veille au soir à Angers, pour la fête de la musique ... et je n'ose même pô imaginer à quelle heure il est rentré.
Le samedi midi, il m'avait parlé d'y aller vers ... 12:00
Rien qu'à me remémorer le temps pour s'y garer ...
on arrivera pour BLACK SABBATH ...
Et vers 12:00, je vois débouler le cousin ... la tête dans le c** : ça promet !
Pour sûr, il vient de se lever ... alors que moi, je suis prêt depuis 09:00
Bon, allez zou, c'est parti.
Coup de bol, arrivés à Clisson, on trouve une place dans une zone artisanale dès l'entrée.
Je connais le chemin ... On nous propose de prendre la navette :
Mais bon :
1/ Faut pay€r
2/ Faut attendre
3/ Quand on la voit arriver : bondée jusqu'à la galerie.
Allez zou, on marche.
Sans cesse, on vient me parler en anglais :
Un mec qui se balade avec le T Shirt ANNIHILATOR, la veste jean avec dossard ANNIHILATOR et le drapeau canadien ... ça doit semer le doute.
A chaque fois, ça finit en grosse marrade quand je réponds en anglais aux anglophones, que je suis Français ou en français aux Français (qui me parlent anglais avec un accent pire que celui de Jacques Delors ...
)
Arrivés sur les lieux, on va visiter les chapiteaux du Market.
Le cousin mitraille avec son portable la "place du marché" : C'est vrai qu'elle a fière allure.
Allez zou, on file vers les scènes.
Là, les contrôles sont quasi inexistants, pas de file d'attente.
On déboule devant la Main Stage 2.
POWERWOLF monte sur scène.
Tant mieux, c'est un groupe que je ne connais pas assez, quelques titres ici et là.
On va pouvoir juger sur pièce !
La vache ! Ils ne font pas dans la demi-mesure les bougres.
Le public est franchement adepte, vu la foule amassée.
La mise en scène est superbe : Décor, costumes, maquillage.
Et leur zic a du envoyer du monde chez les kinés dès le lendemain, tellement ça
dans tous les sens.
J'assiste à tout le show, en me disant qu'il va falloir que j'étudie le cas de plus près ... on n'est plus à ça près ... ou à un près ...
A la fin du show, le cousin me bombarde de questions sur le groupe ... questions dont je suis loin d'avoir toutes les réponses.
On va faire un repérage côté
... et je tombe sur ...
Buz (Christophe) ... rencontré le vendredi : vous vous souvenez ?
Eh oh, faut suivre, hein !
On tape la discute cinq minutes ... et me fait part que Maynine (Maud, une vénérable et adorable dame, venue du sud chaque année) ....
, est sous les arbres.
Je la cherche un peu, perdue au milieu des chevelus, à l'ombre.
Je passe dire bonjour à "la dame blanche" ... Un vrai plaisir de la revoir.
Bon, ça migre à droite, vers la Main Stage 1 ... et je fais un rapproché de circonstance : quatre ou cinq mètres des barrières car sur la scène 2, viendra bientôt se poser ... ANGRA.
Hors de question de louper ça !
Vus pour la première ... et dernière fois en 1996 (quelle tuerie) à la Roche sur Yon.
Le concert voisin me semble éternel.
Pendant la mise en place de la scène, des drapeaux brésiliens arrivent ici et là. Et ça commence à parler portugais.
"Matos" ... "Matos" : Tiens, je connais ce mot.
Matériel, en portugais ?
Ah merdum, non ... ils doivent parler d'un truc que je n'identifie pas pour le moment ... ça me reviendra p't-être plus tard.
Boom, voilà que déboulent Loureiro et Confessori, acclamés par une foule en attente.
Et là, je jongle entre mes appareils photos, le headbanging, le chant a capella ...le tout dans une poussière indescriptible.
Confessori est toujours aussi teigneux, Kiko, toujours aussi précis dans son jeu : Un vrai régal.
Comme prévu, Fabio Lione est au micro : "Angel Cry", "Nothing To Say", "Rebirth", "Carry On" ... et j'en oublie.
Le show passe tellement vite ... beaucoup TROP vite.
Ah oui ... Matos, ça me revient maintenant : En entendant les vieux titres, Matos, c'est pas le mec qui pouvait monter dans les aigües ? ... chose que Fabio ne maîtrise pas : Entre décrochement et massacre ... Et pourtant, je l'adore, l'Italien ... mais n'est pas
Kiske Matos qui veut.
En tout cas, revoir ANGRA fut un énorme bonheur, même si j'ai cessé de suivre le groupe depuis bien longtemps ... trop hélas.
Et c'est reparti sur la scène de droite ... alors que je me rapproche encore car bientôt,
DIEU arrivera pour prêcher sa bonne parole, ses bons riffs, démontrer son talent, écrasant tous les autres bricoleurs pelletistes !
Oups, je m'égare ... et devient ... un peu subjectif, d'un coup ...
Rien à carrer : Quand je parle d'
ANNIHILATOR, rien n'est assez beau, élogieux, grandiloquent !
Je perds de vue l'objectif d'être objectif ?
Pas grave, c'est moi qui écris J'fais c'que j'veux ... Na !
Le cousin, me fait signe qu'il s'éloigne un peu (p'tite nature !) ... alors que moi, je me rapproche des barrières (à deux mètres environ). On n'est jamais assez près ... du
Mètre Maître Jeff Waters
Bon alors, ils ont fini, à côté ou quoi ? Qu'on passe enfin à quelque chose de sérieux.
La section rythmique arrive sous les ovations.
Dave Padden investit la droite de la scène, Jeff Waters la gauche ... comme d'hab' (vue depuis le public).
Padden est devenu l'élément INDISPENSABLE. Voilà dix ans qu'il est là en tant que chanteur : Record absolu, et s'est ensuite imposé en efficace guitariste, plutôt rythmique, je vous l'accorde.
Mais tout l'intérêt de ce binôme, c'est la répartition des tâches :
En général, Jeff Waters assure le chant sur les titres des albums dont il interprétait les vocals (et parfois quelques de
Alice in Hell).
Dave Padden récupère les autres.
C'est rondement mené, bien huilé.
Padden est vraiment efficace, le meilleur compromis que Jeff pouvait obtenir pour mener sa barque.
Quant au bon Jeff : Il est égal à lui même : Arborant une coupe à l'iroquoise. Ce mec s'amuse autant qu'il joue.
Il sait se faire sérieux un instant, pour mieux venir titiller le public ensuite.
On est pourtant loin des shredders
ainsi que du guitar hero qui vient vous faire une démonstration
.
Il maîtrise sa gratte de A à Z, c'est tout ... et c'est déjà ENORME.
Il VIT SA MUSIQUE ""tout simplement"" ... et ça se voit rien qu'à ses mimiques quand il balance ses riffs ou part dans ses soli.
A se demander s'il ne fait pas corps avec sa guitare.
Parfois, je me demande s'il posait sa gratte : Je crois bien qu'elle serait capable de jouer toute seule ... tellement tout est fusionnel mais ça reste archi-maîtrisé, tellement juste (ça change des soli de ...
).
J'ai vraiment du mal avec les groupes qui vous pondent des super soli en studio et qui, en live, vous balancent une bouillie infâme !
Là, des vrais solis où LA TECHNIQUE EST AU SERVICE DE LA COMPOSITION, DE LA MELODIE.
Voilà, c'est malin ... je commence à parler de tonton Jeff et j'en oublie le show.
Donc, ça a commencé par "Smear Campaign", extrait du dernier album
Feast Et puis, ça part en furie avec "King of the Kill" : Pfffff, quel panard !!!
Ce titre est bâti pour la scène
Boudiou, c'est quoi ce tumulte ? Derrière moi, il y a comme un truc en mouvement :
Bor*** de dentifrice pour poules naines ! Un pogo infernal s'est mis en branle !
Bin voui, en plein axe, à deux mètres de la scène ... je vieillis mal, j'oubliais que c'est le périph' du pogo.
Alors là, j'envie soudainement ... le caméléon (comme quoi tout n'est pas mauvais dans cet opus d'HELLOWEEN ... Ah si ?) : Un œil surveillant la scène, l'autre guettant les vagues d'excités derrière moi.
Improvisant le poulpe, je jongle entre mon petit numérique, mon bridge, le brandissement du drapeau canadien, la sauvegarde du sac à dos, ...
Ah oui, faut chanter, headbanguer ... C'est pô une vie d'être fan ...
"No Way Out" prend le relais : Tiré du dernier album, ça réagit un peu moins et laisse la fumée se dissiper un chouya.
Et puis "Set The World on Fire" (
Domi) qui est accueilli comme il le mérite. Pogo, chaos, fumée ...
Comme pour ANGRA, certains clichés précédents sont représentatifs de l'environnement immédiat, de la vision de la scène que j'avais quand ça tournait en rond derrière fumée due à la poussière + le soleil en pleine poire.
Visiblement, ça ne se calme pas derrière moi ... et voilà que désormais, l'aéroport de Clisson vient d'ouvrir : Je suis en plein couloir aérien de slammeurs.
Alors entre les photos, la mise à l'abri du matos entre les shots, le fait de repousser les pogoteurs et désormais la nécessité de donner un coup de main aux pilotes de ligne improvisés ... ça occupe.
Le titre qui m'a fait connaître
ANNIHILATOR, "Road to Ruin" arrive ...
et là c'est la ruine totale ...
Pas pour le groupe, mais pour moi, qui au détour d'un train d'atterrissage non rentré d'un slammeur, me prends un coup de rangers ou brodequin en plein pif !!!
Si sur scène, Jeff et ses sbires explosent tout, là c'est le tarin qui en a fait de même.
Déjà que j'étais cramoisi par la canicule ... là, ça finit le nuancier de rouge.
Bon allez, on s'en tape ...
"Alison Hell", le déjanté et inattendu "Brain Dance" ... et ensuite, on replonge sur "Phantasmagoria", et ça finit sur "Human Insecticide".
Trop court, hélas !
Rien de
Refresh The Demon, ainsi que de l'ère Comeau au chant ainsi que des premiers albums de Padden :
Les quatre premiers albums et le dernier en date.
Bon, c'est un festoche, et donc limité en temps.
Je retrouve le cousin qui s'est rapproché des lances à incendie des pompiers, et des tuyaux des services de la ville.
Il me fait remarquer que le pif est bizarrement écarlate ... Ah bon ?
Allez zou, je retrouve Nico, un pote de par chez moi, (que j'ai converti au Metal il y a presque vingt ans), gratteux de son état, avec son bassiste Karel. Ils sont au bar à vin et veulent aller voir DARK ANGEL, qui remplace MEGADETH.
Comble de l'ironie, le Nico s'était vu offrir la place pour son anniversaire, car grand fan de ... Mustaine.
Et le jour où il reçut le billet, je lui envoyais par sms la news concernant l'annulation du rouquin :
Pendant que DARK ANGEL joue (ça pète sec sur scène ... mais je ne connais vraiment pas assez pour apprécier), je me place parmi la foule qui attend BEHEMOTH.
Mais oui ... j'aime beaucoup ce groupe, vu au HellFest en ... 2007, je crois.
Il y a tellement de monde que je me contente de suivre le show en partie sur écran géant.
Le groupe investit la scène, les mecs encapuchonnés un peu à la façon "Assassin's Creed".
Le décor de la scène est superbe, leur tenue
:
Photos trouvées sur Internet, qui valent mieux qu'un long discours.
Et là, puisqu'on parle chiffons, ça ne fait pourtant pas ... dans la dentelle.
On aime ... ou pas ... mais là, c'est ENÔÔÔÔRME !
Inferno, le batteur est une MACHINE ... A vous décourager n'importe quel débutant se vouant au culte de la double.
Orion, est un bassiste comme je les aime : Le chaînon manquant entre la gratte et la batterie, tout en assurant les chœurs. Et ce géant a une vraie présence scénique : Inquiétant, un look malsain ....
Seth assure la seconde pelle et les chœurs : Fidèle et discret.
Quant à Nergal, il balance un :
"It's fucking good to be alive, ..." (Et oui, ce mec se relève d'une leucémie) avant de débouler sur le cultissime "Conquer All"
Là encore, Nergal s'applique sur ce solo que j'adore et qui sonne comme sur album ...
"Slaves Shall Serve", "Christians to the Lions" ... (un peu de poésie dédiée à Christine Boutin n'est-il pas ?), "At the Left Hand ov God", "Chant for Eschaton 2000" ...
Mazette, quelle tuerie !!!
Par contre trop loin de la scène, je n'ai pu hélas faire des clichés mais franchement, rien que pour le décor, et surtout leur look : ça valait le coup.
Allez zou : Au pas de course, il y a dédicace de ...
ANNIHILATOR Au moins, le cousin, il servira à quelque chose ...
Bon, SOUNDGARDEN tourne sur la Main Stage 1 : ça reste aussi lymphatique que dans mes souvenirs.
"Black Hole Sun" retentit et me fait gentiment secouer la tête ... au ralenti ... bin ouai, fallait pas trop rêver non plus.
Vindidiouss : Le quatuor canadien déboule : Préparation du drapeau, des appareils photos, des feutres ...
Et là, j'entends un mec qui dit :
"Pas de photos de près avec ANNIHILATOR"
Je suppose que j'ai mal entendu ... mais Philippe, le cousin me dit qu'il a compris la même chose.
Et là, en effet ... INTERDICTION DE SE FAIRE PRENDRE EN PHOTO AVEC EUX ...
Je tape la discut' avec Jeff qui me dédicace le drapeau et divers trucs.
Je lui demande pourquoi pas de photos.
Il ouvre les mains, montrant que c'est ainsi, que ça ne dépend pas de lui en regardant sur sa gauche ... et je vois sur le côté, une gonzesse (photographe officielle de je ne sais qui) équipée d'un réflexe avec téléobjectif qui prend plus ou moins tous les fans en photo, en pleine dédicasse ...
P'tain .... SAL*** (désolé
) mais si tout ça c'est à cause d'elle ...
Ouep, je ressors bien vénère de cette séance ... Je m'attendais à tout ... sauf à ça !
Y'a pas intérêt que je la croise ... car si elle est responsable de ce "Fiasco" ... Biiiiiiiiiiiiiiiiip !!!!!!!
Le cousin, discrètement, m'a mitraillé pendant que je rencontrais les mecs, c'est déjà ça mais ce sale goût de gâchis et cette envie de la baffer (si vous la croisez, ne vous en privez pas : Désormais, vous savez à quoi elle ressemble).
Bon, il est tard et il fait faim !
Et hop, mon casse-cr....
Oh put*** de merdum, c'est vrai que je l'ai oublié dans le frigo.
Bin décidemment !!!
Je voulais le prendre à la dernière minute et puis quand le cousin s'est pointé ... on est parti ... sans le sandwich
Que nenni : Attaque en règle des barquettes de frites. On va pô s'laisser abattre ainsi.
Désormais, EMPEROR a investi la scène.
On se pose et regarde le show.
C'est impressionnant ... même si ce groupe, je n'ai jamais vraiment accroché, jamais pu rentrer totalement dans leur musique.
J'essayerai de ... réessayer ... un de ces jours ... mais sans trop y croire.
Sur un festival, je me laisse toujours la liberté de la découverte ou redécouverte ... suivant le planning.
Allez zou, direction Altar (pas encore mis les pieds ce dimanche).
SOILWORK est en plein show.
Le cousin me rappelle pour la nénième fois au moins qu'il compte ... ne pas rentrer trop tard car, sa dernière nuit a été courte (son 'blème, il n'avait qu'à pô traîner
) et qu'il doit être au taf à 12:30 ce lundi
Je ne dis rien mais je ronge mon frein :
Perso, je suis pour rester jusqu'à la dernière note de BLACK SABBATH, puis rentrer at home : C'est dire, arriver à la maison à plus d'heure : 03:30 ou 04:00 ... et le lundi,
je taffe à 08:00 (donc levé vers 07:00).
OK, c'est lui qui conduit alors ... mais c'est clair qu'on ne m'y reprendra plus. C'te false, ce jeunôt !
SOILWORK : C'est ... bruyant
Je n'ai hélas qu'une connaissance en montagnes russes de leur discographie : Un peu au début
Natural Born Chaos,
Figure Number Five et le dernier
The Living Infinite ainsi que quelques titres de la période intermédiaire.
Pfffiou, ça bastonne sévère. Malgré l'heure tardive, il y a foule devant les Suédois ... enfin, les quatre Suédois, le Belge et le Français.
Dirk Verbeuren, derrière les fûts me rappelle à son bon souvenir : Vu avec LYZANXIA dans le passé. Là, il semble avoir trouvé un groupe à sa mesure.
Björn Strid, le chauve au micro harangue la foule et n'oublie de faire acclamer le "local" de l'étape : Sylvain Coudret.
Ola Flink, à la basse est souvent hilare ...
? ...
Par contre, j'ai du mal à reconnaître les titres : Le son est vraiment ... en fait, j'sais pas trop comment le définir : Alors que vendredi, ça passait nickel ... là, c'est "bordelique", un peu ce que je redoute quand c'est sous chapiteau.
... Et p't-être que je suis un peu HS aussi.
L'heure tourne, et je me pointe dehors, où BLACK SABBATH a commencé sa messe occulte.
Purée, ce son lourd, oppressant. Ils ont copié CATHEDRAL ou quoi
?
Ah merdum, c'est le contraire.
Et c'est parti pour la 'zic :
"War Pigs", "Into the Void", "Snowblind", "Age of Reason"
Pffff, mis à part le premier
... ce ne sont pô mes préférés ...
Bien sûr ils ont gardé le meilleur pour la fin.
"Black Sabbath" retentit ... et quelques instants plus tard, je croise le regard du cousin ... Visiblement, il se fait tard pour lui et/ou surtout il se fait chier.
Alors, la mort dans l'âme .. je pars, en devinant ce que je vais louper.
"N.I.B." sonne dans la nuit mais on est déjà assez loin ...
Au passage, on admire une œuvre d'art moderne.
Et là, chemin faisant, le cousin me dit :
"Au fait, si tu voulais rester, j'aurais pu rentrer seul jusqu'à la voiture : J'aurais dormi un peu en attendant."
A une heure aussi tardive, il me vient comme une pulsion meurtrière ... alors que des éclairs, au loin, zèbrent le ciel. Au moins, si ça tonne, on ne l'entendra pô crier quand je vais l'étriper.
Au passage, je loupe juste : "Iron Man", "Children of the Grave" et "Paranoid" ... Que des faces B, hein ?
Je ne me souviens plus trop à quelle heure nous somme arrivés, mais ça éclairait sec ...
A 07:00, quand l'autre biniou sonne : C'est raide !
Et j'vous raconte pô la tronche du mannequin au taf : cramoisi, avec la marque du bandana, le pif en vrac ... et là, j'apprends qu'un intérimaire, présent au HellFest, est absent : Entorse de je ne sais quoi (un slammeur lui est retombé dessus).
Au final ... j'm'en sors bien.
En conclusion.
Vraiment excellente cette cuvée, mis à part la défection de MEGADETH et ICED EARTH.
Dommage que je n'aie pas pu y aller le samedi et que les rencontres se soient faites totalement aléatoirement.
Mais bon, j'y étais ... et pourtant il y a plusieurs mois ... c'était loin d'être fait...
C'te feignasse que je suis pour pondre un ""malheureux"" C. R.