KEEPERS OF TOMORROW
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 W.A.S.P: discographie

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Beurk Rogers
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Beurk Rogers


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MessageSujet: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:16

WASP : discographie commentée.

Wasp (traduisez We Are Sexual Perverts) est un groupe d’une importance immense dans ma vie, puisque c’est tout simplement le groupe qui m’a amené au METAL.
1er titre de HARD ROCK écouté : « I wanna be somebody » et je tombe à la renverse par la puissance de ce titre : ces roulements de batterie, ces guitares hachées et incisives, ce solo dévastateur mais surtout la voix enragée de Blackie Lawless sortie tout droit des enfers, c’est bien simple, Lawless fait partie de ces vocaliste comme Hansi kursch, Paul Di Anno ou encore Steven Tyler qui sans être de hauts techniciens sont reconnaissables entre mille. Ce type de près de 2m de haut leader du groupe (certains diront «tyran »), est assurément l’âme du groupe, Blackie Lawless est le Diable et Chris Holmes le guitariste, son disciple le plus féroce. Le groupe poussera, à l’époque, la provocation a son paroxysme, balançant des images pornos sur des écrans placés sur scène, ou encore pratiquant des lâchés de viande ensanglantée sur le public arrivant même a recevoir des menaces de mort de la part du PMRC(la censure américaine). Mais au final, WASP est un groupe de Heavy Rock qui aura eu des hauts et des bas tout au long de sa carrière, ce dernier restant toutefois inimitable.

Wasp (1984)

Wasp sort son 1er album éponyme après un E.P qui aura fait parler de lui : « Animal (I fuck like a beast) ». Ce titre qui reste le plus grand classique du groupe ne figurera pourtant pas sur l’album, mais la qualité de celui-ci ne s’en trouve pas amoindri.
Car «wasp » reste un album mythique dans la discographie des pervers sexuel : vicieux, furieux, sadique, malsain mais aussi tubesque et Rock’n’Roll, tous les ingrédients sont présents pour réveiller Lucifer et le faire headbanguer jusqu'à plus soif.
Le groupe est catalogué comme dangereux par l’Amérique puritaine tant son discours et ses concerts sont provocateurs, la presse, elle étiquette parfois la musique de Wasp comme du Glam alors qu’en fait on a affaire a un gros Hard Rock Burné souvent Métal ou la Mélodie et l’émotion, néanmoins et pour notre plus grand bonheur, y trouve une place.
Et Blackie vocifère comme un démon sur les cultissimes « I wanna be somebody », « L.O.V.E machine »ou « Hellion » et nous émeut sur le splendide « Sleeping (in the fire).
Quoiqu’en disent les détracteurs du groupe, nous sommes face à un album qui laisse des traces dans l’histoire du Heavy Métal.


The last command (1985)

Un an plus tard, le 2ème album du groupe est dans les bacs, le groupe a par la même occasion changé de batteur en la personne de Steve Ryley qui compose même un titre («jack Action »).
Le groupe s’articule donc comme suite : Blackie Lawless chant/basse, Chris Holmes : guitare, Randy Piper : guitare et Steve Riley batterie.
L’album est dans la lignée du 1er mais beaucoup plus lisse.
Ne nous alarmons pas. La qualité est bien là Mais Wasp nous propose un album plus travaillé au niveau des mélodies avec de nombreux titres au tempo assez lent sans pour autant être des ballades a part entière. « Wild child » (le tube de l’album), «widowmaker » ou encore «cries in the night » en sont la preuve flagrante.
Bien entendu les titres plus furax sont également présents «blind in Texas » (l’autre tube de l’album), l’excellent «fistful of diamonds » et «sex drive » en témoignent.
Sans être mauvais (loin de là) cet album se veut moins percutant que son prédécesseur car moins spontanée, tout y est plus posé mais on reste dans le domaine de la perversion tout de même.

Inside the electric circus (1986)

3ème album, pour les pervers sexuels qui commencent sérieusement à prendre de l’ampleur à tel point que le PMRC (le censure américaine) s’en mêle jusqu'à envoyer des menaces de mort à Blackie Lawless, il faut dire que les textes très portés cul et les lâchés de bidoche ensanglantée sur le public font un peu trop provoc pour cette organisation bien dans les normes américaines.
Le groupe n’en a cure et continue de plus belle voir plus….
Cet album est un peu moins original que ses prédécesseurs, disons que le groupe n’a pris aucuns risques et propose tout simplement un mélange des 2 premiers albums, incluant même 2 reprises («i don’t need no doctor » de HUMBLE PIE et «easy leaving » de URIAH HEEP, merci à ceux qui m’ont aidé). La production est encore une fois plus proprette mais manque pourtant de puissance. mais cet album recèle lui aussi de petits bijoux : « Inside the electric circus », « I’m alive », ou « Sodom and Gomorrah ».
Notons que sur cet Lawless a troqué sa basse par une guitare et a embauché Johnny Rod comme bassiste, on s’apperçoit que Lawless et Holmes s’en donne à cœur joie sur les solos, et que le géant vocaliste pose de mieux en mieux sa voix et vocifère beaucoup moins(« Restless gypsy »).
Au final cet album sera le dernier d’une trilogie obscène qui reste encore a ce jour : Cultissime.


Live in the raw (1987)

Aprés une tournée colossale, le 1er live du groupe voit le jour.
Ce live jouie d’une réputation sans failles auprès des fans de WASP et pourtant je le trouve assez surestimé.
Son trop propre pour être honnête mais qui a du prendre ses marques dans la prod de l’album précédant car il manque encore une fois cruellement de puissance.
On retiendra pourtant une interprétation sublime de « Sleeping (in the fire) » et la présence de titres qui ne figurent sur aucuns albums des pervers comme « The Manimal » ou « Harder Faster »(dédicacé au PMRC d’une façon assez terrible) ainsi qu’un inédit studio « Scream until you like it »qui est en fait la B.O de « Ghoulies 3 », un morceau assez dispensable pour un film qui l’est encore plus.
Bien entendu on y retrouve tous les classiques des 3 premiers albums compilés avec un son Live (enfin bien retouché quand même), mais cet enregistrement en public est bien surestimé a mon humble avis.
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Beurk Rogers
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:17

The Headless Children (1989)

Avec «the Headless Children », WASP se remet totalement en question.
Chris Holmes quittera d’ailleurs le navire à la fin de l’enregistrement de cet album qui est, disons le, une bombe atomique.
Le batteur, lui sera remplacé avant le passage en studio en la personne de l’ex QUIET RIOT, Frankie Banali, et croyez-moi, on y perd pas du tout au change car ce mec est un bûcheron de 1er ordre.
Blackie et sa bande de sadique nous proposent donc son meilleur album depuis «wasp ».
Fini les délires pornographiques des 3 premiers disques et bonjour aux textes revendicateurs sociaux politiques.
Et musicalement c’est une merveille, «the heretic (The lost child) » qui ouvre l’album avec une intro inquiétante qui fait froid dans le dos est aussi prenante que le raisonnement de Colombo et se termine par un déluge apocalyptique de grattes assassines, la reprise des WHO «the real me » est percutante et particulièrement bien réussie, le titre album «the headless children » et « Thunderhead » sont heavy et passionnants de bout en bout. Tout est d’une qualité indéniable et si la seconde partie de l’album se rapproche plus de la première époque du groupe c’est avec une classe hors du commun ponctué par une magnifique ballade, probablement la meilleure du groupe «forever free » et ses nappes de clavier très 70’s.
Blackie chante et vocifère aussi bien comme un Dieu que comme un démon et Holmes déchaine ses phalanges sur ses cordes aidé de très prêt par ce même Lawless qui se révèle sur cet album comme un grand bonhomme du Hard (jeu de mots mis à part).
Les parties de batterie ne sont jamais lassantes, l’apport de Frankie Banali est inéluctable tant son jeu est technique sans toutefois tomber dans la démonstration navrante et branlante.
«The Headless Children » est tout simplement l’un des meilleur album du groupe, un must du Hard US.

Crimson Idol (1992)

Le passage des 80’s au 90’s ne va pas se faire sans douleur pour le groupe de Blackie Lawwless, a tel point que l’on se demande si WASP est encore un groupe.
Chris Holmes, Johnny Rod sont partis, et Lawless partage le poste de batteur entre Frankie Banali et Stet Howlend (ces 2 là brillent de mille feux sur ce disque, magnifique !).
Bob Kulick (le frère de Bruce Kulick ex Kiss) reprend le flambeau laissé vacant par Chris Holmes et Blackie s’occupera du poste de guitariste également et de celui de bassiste. Si un manque se fait cruellement sentir par l’absence de l’ex co-leader a la six cordes, Blackie, lui démontre encore une fois quel excellent songwriter il peut être en balançant à la figure de tout le monde un concept album (Blackie parlera d’un Opéra Rock) fortement influencé selon les dires de ce dernier par le «tommy » des WHO. L’histoire étant la vie tumultueuse d’un jeune musicien qui se frotte à la célébrité et ses déviances.
Les morceaux sont souvent reliés par des interludes et l’on retrouvera tout au long du disque, un thème musicale récurant qui donne une homogénéité parfaite a l’album.
Le dernier titre étant quand a lui un gigantesque medley de toutes ses mélodie présentes sur ce pavé du métal.
Il est quasi impossible de décortiquer cet album de façon à n’en retenir que quelques morceaux, tant cet album est parfait sur toute la ligne, on pourra citer néanmoins quelques petits bijoux qui sortent du lot : « Chainsaw Charlie » ou Blackie insulte carrément le Boss de la maison de disque Capitol, ou encore les magnifique ballades « the gypsie meets the boy » et « The Idol » ou la voix de Lawless se fait magique et envoûtante ou encore le gigantesque « I’am one ». tout n’est que fureur, tristesse et beauté sur ce « Crimson Idol ».
WASP a une fois de plus frappé très fort, malheureusement ça n’allait pas durer.


Still not black enough (1995)

Blackie annonce a qui veut l’entendre que WASP c’est fini.
Le prochain album sortira donc sous l’étiquette « LAWLESS ».
En 95 sort, « still not black enough » sous le patronyme de……..WASP (Gloups ! ! !)
La pochette sombre au possible fait immédiatement penser au film «the crow » et on se demande bien ce qui nous attend : Cet album est…..Minable !
Le plus minable des albums du groupe qui conserve sensiblement le même line up que sur «crimson Idol ».
L’impression qui en ressort, c’est que Lawless a tout simplement repiqué les mélodies rejetées lors de l’enregistrement de «crimson idol » et qu’il a collé à une production insipide et sans aucune puissance.
Le seul titre valable de ce disque est sans conteste «scarred to death » qui reste excellent, mais voilà l’achat d’un album juste pour ça est un peu excessif.
Un album a oublier au plus vite.
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:17

Kill Fuck Die (1997)

Après le flop de l’album précédent, le groupe est au creux de la vague, quasi tombé dans les oubliettes.
Il va donc sans dire que le retour du térrible Chris Holmes est loin d’être innocent.
On pouvait donc s’attendre à un album «retour aux sources » avec les solos, la bidoche et tout le toutim, si WASP revient sous son aspect le plus provocant, musicalement il n’en est rien.
Et c’est avec une surprise immense que nous découvrons ce 7ème album des pervers qui lorgne vers ce qui fonctionne à cette époque : l’indus.
« kill fuck die » est album sombre et malsain au plus haut point, la musique du groupe prends des teintes industrielles, c’est la déception pour les die-hard fans qui ne comprennent pas l’affront fait par le tandem Lawless/Holmes.
Mais même si la démarche peut sembler plus ou moins honnête, Wasp réussi a nous faire sombrer dans une atmosphère terrifiante et vicieuse comme au bon vieux temps et c’est en ça que le groupe parlait de revenir plus sanglant que jamais, WASP a rouvert la porte du frigo est de nouveau prêt a nous balancer du malaise.
On ressent ce sentiment sur les excellents «my tortured eyes », et très inquiétants «kill your pretty face » (l’envie de meurtre se fait presque sentir), et le long de 10mn «the horror ».
Le reste est plus conventionnel avec toutefois cette petite touche electro qui parcoure les différents morceaux (attention on ne tombe pas dans de l’electro métal).
Au final, le retour de Chris holmes et l’arrivée de Mike Dudda a la basse marque le changement d’une nouvelle ère pour le groupe qui s’il ne rassure pas les vieux fans, a au moins le mérite de se présenter comme une prise de risque certaine, car on le sait : les dinosaures qui s’engouffrent dans la brèche des ptits nouveaux se plantent bien souvent.


Double Live Assassins (1998)

Si la sortie de ce double live fit beaucoup moins de bruit que celle de « live in the raw », son coté beaucoup plus authentique et plus retrospectif (c’est normal il y a plus d’album quand même) est plus représentatif de ce que peut ce qu’a pu être WASP.
Tous les albums sont représentés sur ce live.
Si tous les classiques sont bien entendu présents il est plaisant de pouvoir entendre des titres sortis après 1986 « the headless children », « the real me », « chainsaw charlie », « the idol », un medley Crimson Idol, ou encore des titres de KFD qui au final s’allient très bien avec les anciens morceaux du groupe.
Le son est très cru et donc très livece qui est tout à l’honneur du combo, on peut espérer que le groupe n’a fait quasiment aucunes retouches.
Si vous n’aimez pas les best of et que vous voulez découvrir la carrière du groupe ce live est assez approprié.


Helldorado (1999)
KFD ne s’est pas encore vendu des masses, même si, le retour du guitariste originel a refait parler du groupe dans des proportions sommes toutes assez modestes.
Alors blackie clame à tort et a travers que «helldorado » est un retour aux sources.
Essayant même de faire avaler au public que «don’t cry (just suck) » est un «animal (I fuck like a beast) ptII ».
Enfin nous dirons-nous ?
Ben non !
Encore une fois le groupe se plante nous proposant un album de heavy rock éffectivement très WASP mais très souvent pompé sur ce que AC/DC a pu offrir durant sa carrière.
« Damnation angel » qui reste probablement le meilleur titre de l’album comporte une intro, disons, très semblable aux «hells bells » de qui vous savez, et c’est comme ça durant toute la durée de l’album, ça arrache au possible, c’est efficace comme pas deux, ça riffe et reriffe mais au final on en retient presque rien, la platitude totale.
C’est bien simple : Helldorado c’est comme un mec de la sécu lors d’un concert, on s’en prend plaine la gueule mais on ne sais pas trop pourquoi ?.
Blackie se plait a hurler dans tous les sens et si le charme de ses vociferations avait un charme fous a une certaine epoque, elle sont d’une linéarité affligeante ici.
Un album une fois de plus bâclé et c’est dommage car la démarche très Rock’n’Roll des compos aurait pu en faire un excellent disque de Hard Rock.


The sting (live)(2000)

Qu’est ce que c’est que ce truc ?
Mais c’est de la merde ?
Ben oui !
Un son affreux, digne d’un pirate.
Hormis l’occasion d’entendre 3 titres du dispensable «helldorado », ce live n’a aucun intérêt, aucuns.
Et je ne parle même pas du DVD.
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:18

Unholy terror (2001)

Si unholy terror est loin d’être le meilleur album de WASP, on parvient enfin a retrouver des sonorités proches des débuts du groupe.
Alors rien de très original ici, mais les fans pourront apprécier le très bon « locomotive man », le splendide « charisma » et son intro « unholy terror » ou le très rock’n’roll « wasted white boys » morceaux où Roy Z y fait une apparition guitaristique qui se déchire avec celle de Holmes.
Certes son aurait pu se passer de cette ballade mielleuse « evermore » ou d’un morceaux assez plat comme « who slayed baby Jane »qui rappelle les péchés capitaux de ces dernières années et l’on ressent une fois de plus une petite impression de bâclage, mais le groupe revient peu à peu sur le droit chemin, et cet album se veut au final assez plaisant à écouter sans toutefois casser des briques.


Dying for the world (2002)

Pour ce 10ème album de WASP, Chris Holmes est une nouvelle fois inscrit aux abonnés absents.
Il est cette fois remplacé par un inconnu du nom de Darell Roberts, qui, s’en sort assez bien.
De toutes façons, on ne peut pas dire que Chris nous ait éblouie sur les dernières production du groupe (KFD, Helldorado, Unholy terror).
Changement de batteur également qui voit le retour de Frankie Banali s’octroyer cette fois l’intégralité des parties de batterie de cet album laissant toutefois la place a Stet Howlend pour les tournées.
Que penser de ce «dying for the world » ?
Les événements du 11 septembre ont particulièrement touché Blanchie Lawless car les textes de l’album en sont directement inspirés. Inspiré est d’ailleurs un mot faible.
Car si les paroles des morceaux proposés ici ne tombe pas dans l’anti Islamisme ils sont profondément pro-americains et n’engagent que son auteur.
Musicalement cet album est tout de même supérieur à son prédécesseur, mais encore et toujours on est loin de la perfection du sentiment de satisfaction qu’on attend depuis des lustres, certains fans (dont moi) prient chaques soir, Lucifer, pour qu’il implore (oui, oui) le grand Lawless de nous sortir un album qui troue le cul, mais ça ne vient pas, ça ne vient pas.
Non pas que cet album soit hyper mauvais, le groupe a toujours proposer et ce même sur ces albums les plus mauvais des morceaux d’une grande qualité, le problème c’est que encore une fois, l’album terminé on en retire rien.
Blackie chante bien, ça joue bien les morceaux sont assez bons (« shadow man », « black bone torso » « trail of tears » et « revengeance » ce dernier étant bien taillé pour la scène) mais ça reste un album qui ne changera pas le statut descendant du groupe, une bon album de heavy rock voilà tout.
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:19

The neon God (2004)

AAAAAAAHHHHHH PUTAIN ! ! ! ! ! !
Le voilà enfin l’album qu’on attendait.
Un concept album une fois de plus qui se divisera en deux parties et qui suit les traces du sublime «crimson idol » et s’en rapprochant d’ailleurs tant musicalement qu’au niveau de l’histoire.
D’ailleurs l’album est structuré de la même façon (une (magnifique) instrumentale en guise d’intro et de petites interludes ici et là).
On ne sait plus ou donner de la tête car pour la première fois depuis plus de dix ans, la qualité est belle et bien au rendez-vous.
Si le 1er morceaux chanté « wishing well » sonne comme du WASP sans plus, le terrifiant « sister sadie » qui lui succede et qui s ‘étire sur une dizaine de minutes fait péter la baraque de Naf Naf , « asylum #9 » sonne agressif et élève l’album à son plus haut point, Lawless chante divinement bien (« what I never find ») et « XTC riders » sonne comme a la grande époque.
Ça joue bien tout est carré et bien composé et après l’écoute de cet album on ressent efin une senstion de bien être, un soulagement que l’on avait pas ressenti depuis «crimson idol ».
Le disque se conclue par une power ballad énorme »raging storm » d’une qualité certaine et qui enfin arrive à nous émouvoir.
Merci Mr Lawless


The neon God ptII (2004)

Il en est tout autre de cette 2ème partie.
Encore une fois Blackie nous ressort les fonds de tiroirs, attitude qui a fait défaut au groupe pendant de nombreuses années, et l’on comprend pourquoi WASP a sombré pendant ces périodes.
Si ce neon god II est tout de même supérieure a tout ce que le groupe nous a pondu pendant les 90’s (excepté Crimson Idol bien sur) et le début 2000, on se demande tout simplement pourquoi Blackie n’a pas sorti un seul et même album en ne retenant que les meilleurs morceaux de cette 2ème offrande ?
Car hormis les excellents « come back to black », « tears down the wall » et le magnifique « the last redemption » (qui a la même fonction que « the great misconception of me » sur Crimson Idol), le reste est assez conventionnel sans être foncièrement mauvais mais un cran en dessous tout de même.
Plus d’interludes, d’instrumentales, juste des titres très bien joués et interprétés sans prétention.
On attend mieux pour la suite, surtout quand on s’aperçoit que WASP peut encore nous proposer de bonnes choses.
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:32

Dominator (2007)

On y est!
Blackie et ses salariés reviennent à quelque chose de bon pour le fan.
Dominator est une réussite.
Un son correct avec des morceaux corrects.
"The last command" n'est pas loin, car on y retrouve les arpèges malsaines a la "wild child" sur plusieurs titres de l'album.
Mais comme souvent avec WASP, les albums proposés s'en tiennent au strict minimum.
9 morceaux dont la magnifique ballade "heaven's blessed in black" qui est présentée en 2 parties et cette 2eme est totalement inutile, mais le morceau est bon.
Aux chapitre des réussite: le mid tempo "mercy" qui ouvre les hostilités est du WASP pur jus et excellent, "take me up" est la même lignée ainsi que "the burning man".
La ballade citée plus haut fait partie des réussites aussi ainsi que le trés Rock'n'roll "deal with the devil".

Tout ça sur 9 titres (8 en réalité) c'est déjà pas si mal et les 2 restants sont néanmoins au dessus de certaines choses infames que Blackie a eu le culot de nous offrir ces dernières années.

Niveau Line-up, Seul le fidèle Mike Duda est resté au coté du maitre et ce sont Mike Dupke et Doug Blair (respectivement batterie et guitare) qui s'y sont collés même si l'ex gratteux Darrell Roberts joue sur "deal with the devil.

Dominator reste un bon album, pas le meilleur, certes, mais bon album quand même.


Conclusion :

WASP reste néanmoins un grand groupe de Heavy Rock US, mais son leader n’aura pas su gérer au mieux sa carrière et son personnel souvent victime d’un ego démesuré .
On retiendra pourtant de grands albums ou de grands morceaux dispersés ici et là presque indispensables a tout fan de métal qui se respecte.

Les indispensables :

- WASP (1984)
- THE HEADLESS CHILDREN (1989)
- THE CRIMSON IDOL

A éviter par mesure de sécurité :

- STLL NOT BLACK ENOUGH (1995)
- HELLDORADO (1999)

Par curiosité :

- KILL FUCK DIE (1997)
- DYING FOR THE WORLD (2002)
- DOMINATOR (2007)

La bonne compil :

- DOUBLE LIVE ASSASSINS (1998)


J’ai volontairement zappé le Best of sorti après « crimson idol » qui ne mérite pas vraiment qu’on en parle et qui de toutes façons n’est apparemment plus édité.

J’ai tenté d’être le plus objectif possible, étant fan presque aveugle j’aurai dit que tout était correct sinon.

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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:41

W.A.S.P: discographie B000089HCR.08.MZZZZZZZW.A.S.P: discographie B000086EOB.08.MZZZZZZZW.A.S.P: discographie B000006H7K.01.MZZZZZZZ
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 15:44

C'est bien d'avoir pris du recul, c'est pas toujours évident quand on aime un groupe.

Personnellement, j'aurais mis, malgré ses imperfections (ou plutot son ultra perfection), Live...in the raw dans les indispensables car il cloture un chapitre de l'histoire de W.A.S.P.

Et puis il y a la tirade de Blackie sur le PMRC que j'adore juste avant harder faster me semble t-il. ça fait partie du grand cirque W.A.S.P. lol!
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Helld (-|-) ween
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeVen 1 Aoû - 19:56

Alors pour ce que j'aime le plus chez W.A.S.P. et dans l'ordre:
- The Headless Children
- W.A.S.P.
- Live In The Raw
- The Last Conmmand
- Dominator
- Inside The Electric Circus

Le reste ben non, j'accroche pas du tout et même le double live Assasin me gave.
Clair que le Live In the Raw est bidouillé avec des rajout de public et un son qui semble avoir été trafiqué, mais j'aime beaucoup la setlist.
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitimeMer 27 Mai - 22:22

J'adore tes textes Tonton, ha oui les adeptes des clips ringards, mais mis à part ça j'aime bien, Merci pour l'article !
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MessageSujet: Re: W.A.S.P: discographie   W.A.S.P: discographie Icon_minitime

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