Formule 1 & sports mécaniques

J'adore

Un GP ennuyeux mais encore Button mon chouchou qui gagne!!!

Ouep, chiant comme la pluie les GP en ce moment

Borloo a réaffirmé son opposition à Yvelines F1
Postée le 14/05/2009 à 09h00
Le ministre du Développement durable Jean-Louis Borloo a reçu mercredi une délégation de représentants d'associations opposées au projet de circuit de formule 1 dans les Yvelines et leur a réaffirmé son opposition à ce projet à cet endroit, selon ces associations.

''Il nous a dit clairement que tant qu'il sera là, le projet ne se fera pas'', a indiqué à l'AFP Alexandre Faro, l'avocat des associations.

''Le ministre a exprimé de nombreuses réserves sur ce projet à cet endroit'', confirme-t-on au ministère. ''Il n'est pas contre la F1 mais il estime que ce n'est pas le bon endroit pour réaliser un tel projet'', précise-t-on.

M. Borloo a assuré les représentants des associations - collectif Flins sans F1, association contre la F1 à Flins, et Ecologie sans frontières - que "ce projet ne bénéficiait pas du soutien du gouvernement", ont-elles indiqué dans un communiqué.

''Nous nous félicitons de cette position sans équivoque de Jean-Louis Borloo mais nous sommes conscients qu'il n'est pas forcément éternel à ce poste et qu'il ne faut pas relâcher la pression'', a déclaré à l'AFP Michel Lecat, président de l'association contre la F1 à Flins.

Les opposants rappellent qu'un rassemblement est prévu contre ce projet samedi à 14h00 devant le château de Versailles.
Ce projet de circuit F1 est situé sur des captages d'eau qui alimentent quelque 500.000 foyers en région parisienne, fait valoir Alexandre Faro.
Il est en ''parfaite contradiction'' avec l'un des objectifs du Grenelle de l'environnement qui prévoit la protection des captages d'eau par l'interdiction locale d'activités polluantes.

En outre, ce projet se situe au milieu d'une zone de population dense qui serait affectée toute l'année par des nuisances sonores, ajoute-t-il.

La secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno avait déclaré récemment qu'il était ''hors de question de sacrifier l'environnement pour un circuit'' de Formule 1.
Les promoteurs du projet assurent de leur côté que la protection de l'environnement a été prise en compte et que ce circuit a même vocation à être exemplaire en la matière.

(c) AFP

Renault F1 annonce son retrait de la F1 à son tour
Postée le 13/05/2009 à 14h50
Le 29 avril dernier, le Conseil Mondial de la FIA (Fédération Internationale de l'Automobile) a décidé d'introduire un double standard réglementaire en vue de la prochaine saison de Formule 1. Cette décision a amené le Groupe Renault à reconsidérer son inscription au Championnat du Monde de Formule 1 FIA 2010.

Aujourd'hui, le sentiment de frustration est réel. La FOTA (Formula One Teams Association) a formulé des propositions constructives destinées à réduire les coûts de manière drastique et à être mises en place de manière progressive entre 2009 et 2012.
Construites par les membres de la FOTA, les propositions ont été ignorées dans leur ensemble par la FIA sans consultation préalable avec les équipes.

Il doit être précisé, en outre, que les objectifs financiers fixés par la FOTA sont identiques, voire inferieurs à ceux de la FIA. Cependant, Renault croit fermement que le processus doit être mis en place de manière différente et qu'il doit préalablement être accepté par tous.

Pour Renault, il est extrêmement important que l'administration du sport soit réalisée en concertation
avec toutes les parties concernées (FIA, FOM, FOTA) afin d'assurer un meilleur équilibre entre revenus et dépenses. Renault est également d'avis que tous les concurrents inscrits au Championnat du Monde de Formule 1 doivent opérer sous une même et unique réglementation.

Bernard Rey, Président de ING Renault F1 Team : ''Renault a toujours considéré la Formule 1 comme la catégorie reine du sport automobile et la plateforme parfaite pour démontrer son excellence technique. Nous sommes toujours engagés dans la compétition mais nous ne pouvons pas nous inscrire dans un championnat à double niveau réglementaire. Si une telle réglementation est mise en place, nous serons obligés de nous retirer à la fin de cette saison.''

Flavio Briatore, Directeur Général de ING Renault F1 Team : ''Notre objectif est de réduire les coûts tout en maintenant les standards qui font de la Formule 1 une des marques les plus prestigieuses au monde.
Nous voulons atteindre cet objectif de manière coordonnée avec les entités régulatrices et commerciales du sport, et nous refusons d'accepter une gouvernance unilatérale de la part de la FIA. Si les décisions annoncées par le Conseil Mondial le 29 avril 2009 ne sont pas révisées, nous n'aurons pas d'autre choix que de nous retirer du Championnat du Monde de Formule 1 FIA fin 2009.''

(c) ING Renault F1 Team

Ferrari est là, mais...



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• La FOTA sous conditions
  

La FIA a dévoilé une liste de treize équipes inscrites pour le prochain Championnat du monde. Parmi lesquelles trois petites nouvelles et surtout Ferrari. Mais la Scuderia ne participera que si la Fédération Internationale fait marche arrière quant à son projet de "F1 low cost".
On connait désormais le plateau du Championnat du monde de F1 pour la saison 2010. La liste a été publiée vendredi par la Fédération Internationale de l'Automobile. On retrouve treize écuries, dont trois petites nouvelles : Campos Grand Prix, USF1 et Manor Grand Prix. Les dix qui concourent cette année au Championnat du monde se sont toutes inscrites. La FIA a également révélé que McLaren-Mercedes, BMW Sauber, Renault, Toyota et Brawn GP avaient cependant émis des conditions à leur participation.
Quid de Ferrari ? La Scuderia est bien sur la liste de la FIA. Mais l'écurie italienne n'a pas été rangée parmi les équipes inscrites sous-conditions. Ce qui est pourtant son cas. Meneuse de la fronde anti "F1 low cost", Ferrari n'a pas apprécié et a tenu à mettre les points sur les i. Dans un communiqué publié par l'écurie italienne, on apprend que "Ferrari s'est inscrite le 29 mai au Championnat du monde de Formule 1 2010 sous certaines conditions. Aujourd'hui, elle ne sont toujours pas remplies." Quelques heures plus tard, la FOTA, dans une lettre adressée à la FIA, a révélé que Ferrari n'était pas la seule à avoir été classée "sans condition" contre son gré. Red Bull et Toro Rosso sont également concernées.
Prodrive et Lola déçues

La Scuderia prend cette manoeuvre de la FIA d'autant plus mal qu'elle avait expressément demandé à ne pas être rangée parmi les participants certains au prochain Championnat du monde. Dans son communiqué, Ferrari assure d'ailleurs une nouvelle fois qu'elle ne prendra pas part à la compétition en 2010 si le règlement reste en l'état. A savoir : un budget plafonné à 45 millions d'euros en l'échange d'avantages technologiques.
Prodrive et Lola, qui avaient également fait acte de candidature, ont été recalées par la Fédération Internationale de l'Automobile. Mais espèrent encore un éventuel repêchage. Le 19 juin prochain, la FIA pourrait décider d'exclure certaines écuries. "Nous attendrons et verrons comment les choses se passent la semaine prochaine jusqu'au 19 juin. Nous sommes prêts à mettre nos plans en oeuvre si les circonstances le permettent. Comme nous l'avons vu auparavant, il y a souvent beaucoup de tournants et de développements en F1", a regretté David Richards, président de Prodrive.

Y a un gros boxon en ce moment concernant le prochain championnat de F1.
En fait tous les gros constructeurs sont contre la FIA en ce moment et rien n'est fait pour la prochaine saison encore.

F1 : Vers un championnat parallèle ?



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• La FIA fait pression
  
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Jeudi soir à Silverstone, les écuries de Formule 1, réunies au sein de la FOTA, ont refusé les conditions de la FIA pour 2010 et envisagent de créer un championnat parallèle.
Max Mosley avait décidé de mettre la pression jeudi. Le président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) avait envoyé une lettre aux huit équipes de l'Association de équipes de Formule 1 (FOTA) et Bernie Ecclestone, chargé de la commercialisation des droits de la F1, pour leur indiquer que le 19 juin était la date butoir définitive des négociations pour trouver un compromis sur les modalités de participation au championnat 2010. Quelques heures plus tard, il a reçu une réponse. Mais peut-être pas celle qu'il attendait.
Les écuries composant la Fota - McLaren-Mercedes, BMW Sauber, Renault, Toyota, Brawn GP, Ferrari, Red Bull et Toro Rosso - ont en effet annoncé qu'elles refusent les conditions de la FIA. "Il est devenu clair que les écuries ne peuvent continuer à faire des compromis sur les valeurs fondamentales du sport. Elles ont refusé de modifier les conditions de leurs inscriptions pour le Championnat 2010", a fait savoir la Fota par le biais d'un communiqué obtenu jeudi soir. Un coup de tonnerre dans le monde de la F1. Surtout que la FOTA ne s'arrête pas là.
La Fota met la pression
L'association des équipes de Formule 1 pense créer un autre championnat dès la saison prochaine. "Les équipes n'ont pas d'autre alternative que de commencer à préparer un nouveau Championnat qui reflètera les valeurs de ses participants et de ses partenaires. Cette nouvelle série aura un système de gouvernance transparent, un seul type de règles, elle encouragera les nouveaux entrants et écoutera davantage les souhaits des fans, ce qui inclut des prix plus bas pour les spectateurs partout dans le monde, pour les partenaires et les actionnaires importants", ajoute la FOTA dans son communiqué. "Les principaux pilotes, stars, marques, sponsors, promoteurs et les compagnies historiquement associées avec le plus haut niveau de sport automobile feront également partie de cette nouvelle série", affirme l'association des écuries.
En clair, Max Mosley se retrouve dos au mur. Le parton de la F1, qui a déjà averti qu'il ne changerait pas les conditions d'engagement dans le championnat 2010 -notamment le budget capé- mais qu'il pourrait à accéder à certaines revendications, va devoir vite réagir. Une chose est sûre : ce week-end à Silverstone s'annonce riche en rebondissements. Et pas seulement sur la piste...

La FIA poursuit la FOTA



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• 2010 : Vers un championnat parallèle ?
  

C'est la guerre ouverte entre la FIA et la FOTA : Max Mosley, président de la Fédération internationale de l'automobile, va traîner les huit équipes dissidentes devant la justice pour les faire rentrer dans le rang.
Max Mosley, président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), est un avocat de formation et le reste. Vendredi, à Silverstone, il a longuement discuté avec Bernie Ecclestone pour tenter d'éviter la création d'un championnat annoncé la veille au soir par la Formula One team association (FOTA). Ses arguments n'ont manifestement pas eu le poids escompté auprès du gestionnaire des droits de la Formule 1, et il a ainsi activé l'option juridique pour contraindre la FOTA à revenir dans le cadre de la FIA pour 2010.
Il s'agit très certainement de sa dernière carte face aux équipes rebelles -les teams 2009 sauf Williams et Force India- qui ne veulent pas de son buget capé à 45 millions d'euros et d'un championnat à deux vitesses en 2010, comprenant des équipes soumises aux règles 2009 et d'autres, Williams, Force India et les postulants Manor (F3), US Grand Prix Engineering (nouvelle équipe) et Campos (ex-GP2), qui courraient à budget limité mais avec des avantages techniques significatifs.
"Les avocats de la FIA ont à présent examiné la menace de la FOTA de fonder un championnat dissident. Les actions de la FOTA dans leur ensemble, et celle de Ferrari en particulier, représentent des infractions sérieuses aux lois, s'apparentant à une interférence délibérée dans les relations contractuelles, un manquement direct aux obligations légales de Ferrari et une violation grave des lois de la compétition. La FIA va engager sans délai une procédure en justice", écrit la FIA, dans un communiqué publié vendredi après-midi, alors que le Mondial 2009 vit sa 8e manche, en Grande Bretagne, sur le circuit-berceau du championnat.
"Les préparatifs au championnat du monde FIA de Formule 1 2010 se poursuivent mais la publication de la liste finale des engagés 2010 sera suspendue jusqu'à ce que la FIA fasse valoir ses droits" , ajoute l'organisme de la place de la Concorde.
Nulle doute que si la justice donnait raison à la FOTA, Max Mosley serait poussé à la démission.

Un vrai bordel en ce moment.
Le GP d'aujourd'hui était d'un chiant comme rarement.
Plus ça va et moins c'est intéressant.

Ouep!

en F1!

La FOTA fait tomber Mosley



Imago

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• La FIA et la FOTA évitent le schisme
  
• video: La FIA évite la crise
  

Max Mosley a payé au prix fort son entêtement à créer un championnat de F1 à deux vitesses en 2010. Mercredi, il y a laissé ses prérogatives de président de la FIA. Qui reconnaît l’existence et le rôle incontournable de la FOTA.

Max Mosley a tout perdu en Formule 1, sauf ses apparences de président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA). Mercredi, l'avocat britannique de 69 ans, parvenu en 1991 au poste de président de la haute instance qui gère le sport automobile mondial, a abandonné ses fonctions exécutives de président de la FIA, transférées avec effet immédiat au Monégasque Michel Boeri, en qualité de président du Sénat de la FIA. Pour la petite histoire, Michel Boeri était donné favori à la succession de Jean-Marie Balestre en 1991, lorsqu'il avait été doublé, à la surprise générale, par Max Mosley, qui avait mené une campagne aussi discrète qu'efficace.
En clair, Max Mosley n'a plus le moindre pouvoir en F1 et n'occupe qu'une fonction honorifique. Michel Boeri, président de l'Automobile club de Monaco, va décider de tout jusqu'à l'élection d'un nouveau président de la FIA, en octobre prochain, qui ne sera pas Max Mosley, qui a renoncé à se représenter.
Il se refusait à l'admettre, mais Max Mosley avait bien mis son poste dans la balance pour tenter de remporter son bras de fer face aux huit équipes contestataires réunies sous la bannière FOTA (toutes sauf Williams et Force India), qui ne voulaient pas d'un championnat cohabitationniste en 2010, entre d'un côté les équipes « classe éco » ou « low cost », limitées en budget (45 millions d'euros) et sciemment avantagées techniquement, et de l'autre les grands constructeurs. Max Mosley a cédé sur toute la ligne, et s'est fendu mercredi d'un mensonge par omission en affirmant que la FIA et la FOTA s'était mises d'accord sur une nouvelle réduction des coûts en Formule 1. Il n'y a pas eu d'accord de la sorte, et l'habile homme de loi anglais a oublié de préciser qu'il n'était plus question de budget capé pour 2010 ou les années suivantes.
De nouveaux Accords Concorde

En fait, c'est la FOTA (Formula One teams association), c'est-à-dire Ferrari, McLaren, Renault, Toyota, Red Bull, Toro Rosso, BMW et Brawn, plus sans doute bientôt Williams et Force India, réintégrées après une suspension pour s'être inscrites en « low cost », qui vont-elles mêmes préconiser à la FIA les mesures de cadrages des coûts qui les mettront à l'abri de dérives dépensières. Car c'est là une autre victoire obtenue mercredi par la FOTA : elle est désormais reconnue officiellement par la Fédération internationale de l'automobile (FIA) et par la Formula One management (FOM) de Bernie Ecclestone, chargé des aspects commerciaux du championnat du monde. En clair, la Formule 1 va désormais fonctionner avec le triumvirat FIA, FOM et FOTA. La FOTA devient en quelque sorte un troisième pouvoir sans laquelle rien ne se fera.
Par ailleurs, la participation des dix équipes du championnat actuel au Mondial 2010 se traduira rapidement par la signature, conjointement avec Bernie Ecclestone et Michel Boeri, des Accords Concorde jusqu'en 2012, sur la base révisée des Accords signés en 1998. Les Accords Concorde, du nom de la place où siège la FIA, conviennent notamment de la façon de redistribuer les revenus générés par le sport. Par ailleurs, la FIA a confirmé la validité des candidatures de trois nouvelles équipes : la britannique Manor, l'étasunienne US Grand Prix Engineering et l'espagnole Campos. Elles rouleront avec un moteur V8 Cosworth et bénéficieront du soutien technique d'équipes existantes.
"Je suis ravi que les propositions de la FOTA aient été retenues et approuvées par le Conseil mondial du sport automobile aujourd'hui », a déclaré John Howett, président de Toyota Racing, qui a activement participé au round des négociations FIA/FOTA. « Cela va nous garantir d'avancer sur la base stable d'une gouvernance propre et nous assurer un revenu, ce qui est une très bonne nouvelle pour les différentes parties prenantes en Formule 1. Cela a été une période éprouvante, mais grâce à l'unité des équipes de la FOTA, et la clairvoyance des membres du Conseil mondial du sport automobile, nous sommes parvenus à un résultat juste pour la Formule 1. Nous avons hâte de travailler avec le Sénat de la FIA pour concrétiser un avenir prospère et excitant pour la Formule 1 et ses millions de fans dans le monde ».
La FOTA sera au travail dès jeudi à l'aéroport de Bologne, en Italie, où elle réunira son comité exécutif, composé de Martin Whitmarsh (Team McLaren), Flavio Briatore (Renault F1 Team), John Howett (Toyota Racing), Luca di Montezemolo (Scuderia Ferrari) et Ross Brawn (Brawn GP). Une conférence de presse suivra, à partir de 12h30.

Sacré bordel mais on va peut être enfin y voir un peu plus clair pour l'avenir.
Ces dernières semaines, ça fusait dans tous les sens régulièrement à ne plus vraiment savoir ce qui se passait réellement. Changements de positions à tout va, on n'en sort plus et on attend une décision définitive.
Donc visiblement avec le départ de Mosley, ça devrait s'éclaircir un minimum mais il faudra encore attendre que la FIA publie quelque chose d'officiel.
Enfin, je vois de mon côté que le petit Bernie est toujours dans le coup en ayant protégé sa place auprès des "gros" de la F1.

Ecclestone dérape



DPPI

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Pour Bernie Ecclestone, le pouvoir doit être puissamment incarné. Et il ne s'embarrasse pas de comparaison en parlant d'Adolf Hitler.
A 78 ans, Bernie Ecclestone a l'exercice du pouvoir toujours aussi autocratique. Depuis des années, il règne sur le commerce de la Formule 1, il est habitué à décider seul, à dire aux autres ce qui est bon ou pas. Régulièrement, il aime se justifier en nécessaire dictateur d'un paddock rempli d'égos qu'il faut dominer pour éviter la faillite du sport tout entier. La sienne, surtout. Mais, il est vrai, le danger est permanent, comme l'a récemment montré le bras de fer entre Max Mosley, président de la FIA, et la FOTA. Malheureusement, "Mister E" se livre samedi à un nouveau numéro de l'omnipotent décomplexé. Dans les colonnes de The Times , il va plus loin que jamais. Trop loin…
"Je préfère les leaders forts", lance en préambule le président de la Formula One management, au journal britannique. "C'est terrible à dire je suppose, mais à part le fait qu'Hitler s'est laissé emporter et persuader de faire des choses dont j'ignore s'il voulait les faire ou pas, il était en position de commander beaucoup de gens et d'être efficace. A la fin il s'est perdu, donc il n'était pas un très bon dictateur" , ajoute-t-il. Il ne précise pas ce qu'il entend par "s'est perdu" , s'il évoque l'échec de la stratégie militaire ou les abominables moyens créés pour faire disparaître des millions de gens. C'est de toute façon gênant.
Bernie Ecclestone ne s'arrête pas là et cherche une nouvelle fonction pour Max Mosley, poussé le 24 juin dernier vers la sortie par la FOTA, l'association des équipes de Formule 1, qui n'en pouvait plus de son dirigisme. L'Anglais de 69 ans, fils de l'homme politique Oswald Mosley, fondateur du British Union of Fascists , qui célébra son mariage en 1936 chez Joseph Goebbels, pourrait être tenté par une carrière politique.
Aujourd'hui, Ecclestone encourage son allié à franchir le pas, et il est trop intelligent pour oublier le timing. Le 7 juin, lors des éléctions européenées, la Grande Bretagne a rejeté les partis classiques, confondus dans le scandale des notes de frais. Le British national party a réalisé des scores historiques, emmenant dans son sillage d'autres formations aux thèses nauséabondes. "Tous ces gars, Gordon [Brown, actuel Premier ministre] et Tony [Blair, ancien Premier ministre], essayent de plaire à tout le monde tout le temps. Max ferait un super boulot, c'est un bon leader", estime Ecclestone. "Si vous observez la démocratie, elle n'a pas fait beaucoup de bien à beaucoup de pays, dont celui-ci (la Grande-Bretagne)", conclut-il.
En avril 2008, Mosley avait fait scandale en apparaissant dans une vidéo privée sado-maso à connotation nazi. Ecclestone avait réclamé sa tête, "poussé par un grand nombre de personnes" , avait-il expliqué le 20 mai dernier dans une interview à l'hebdomadaire Auto-Hebdo. Avant d'avouer : "Ça ne m'a jamais embarrassé".
The Times ne pouvait laisser les énormités d'Ecclestone se propager sans donner la parole à un représentant de la principale communauté victime de la folie d'Hitler. "Les commentaires de M. Ecclestone sur Hitler (...) et les dictatures sont assez bizarres", a réagi le porte-parole du Conseil des représentants des juifs britanniques. Bernie Ecclestone "dit 'La politique ce n'est pas pour moi' et nous sommes plutôt d'accord", a-t-il ironisé.
Denis MacShane, député travailliste, a dénoncé l'égarement du grand argentier de la Formule 1 en déclarant : "Si M. Ecclestone pense sérieusement qu'Hitler a dû être persuadé de tuer six millions de juifs, d'envahir tous ces pays

C'est à l'air chaud dans le milieu de la F1 !

LE blem c'est qu'il fume un truc qu'on n'a pas encore détecté

Les pots d'échappement, c'est possible

Vu comme il est, ça ne m'étonnerait presque pas

Bourdais, l'ombre d'un doute



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Sébastien Bourdais (Toro Rosso) a réagi jeudi aux rumeurs selon lesquelles il disputerait en Allemagne son dernier Grand Prix avec la Scuderia. "Pas au courant", le Manceau précise "qu'il n'y a pas de clause de résultat dans (son) contrat" et qu'il n'ira pas demander d'explication à ses employeurs.
La mi-saison marque souvent le coup d'envoi des grandes rumeurs pour l'année à venir. A l'heure où les médias espagnols et italiens envoient Fernando Alonso (Renault) chez Ferrari en 2010, Sébastien Bourdais a tenu les points sur les i quant à son avenir personnel chez Toro Rosso : "Cette rumeur dure depuis un an et demi maintenant, que soit disant c'est ma dernière course demain. Mais cela devient un petit peu plus persistant ce week-end". Info ou intox, la rumeur a réussi à faire sortir le pilote manceau de ses gonds. "Depuis ce (jeudi) matin, chaque fois que je passe d'un côté à l'autre de la structure, j'ai trois caméras sur le derrière comme si j'étais un animal. C'est un petit peu énervant" , a-t-il expliqué dans le paddock du Nürburgring.
Régulièrement battu depuis le début de la saison par son coéquipier Sébastien Buemi - pourtant novice en F1 - le quadruple champion du monde de Champ Car compte deux points au classement pilotes après huit courses, pour une triste 16e place. Selon plusieurs médias, le remplaçant de Sébastien Bourdais dès le Grand Prix de Hongrie, le 26 juillet, serait le jeune Espagnol Jaime Alguersuari, 19 ans, que Red Bull, l'écurie soeur de Toro Rosso, a embauché le 1er juillet comme pilote de réserve. Actuel participant des World Series by Renault, Alguersuari est le champion du monde en titre de F3 britannique.
Bourdais : "Rien à dire à mes employeurs"

De son côté, Toro Rosso n'a donné aucune indication quant à la véracité de l'information. Une éviction aussi sèche du pilote français paraîtrait surprenante en songeant aux coutumes employées dans le monde de la F1. En amont d'un remerciement, les pilotes sont souvent sommés de faire un bon résultat ou de se faire remarquer sur deux ou trois courses, au cas où... Ce qui ne semble pas être le cas de Sébastien Bourdais. "Il n'y a pas de clause de résultat dans mon contrat", a même précisé le Manceau qui se concentre du coup à 100% sur le Grand Prix d'Allemagne. "J'ai une voiture à conduire sur un GP de F1 ce week-end au Nürburgring, sur une piste que j'aime bien. J'ai un boulot à faire. Je vais le faire. Je vais essayer de prendre du plaisir."
"Les conditions météo s'annoncent assez particulières, comme c'est toujours le cas ici. Et comme on a une voiture qu'on sait assez compétitive sous l'eau, ça pourrait être sympa" , a-t-il poursuivi. Quoiqu'il en soit, le Français n'ira pas voir Franz Tozt, son directeur, pour lui demander des explications. "Avec Franz, on s'est toujours tout dit, il n'y a pas de surprise. Je n'ai rien à dire à mes employeurs. S'ils ont quelque chose à me dire, ils sont grands, ils me le diront. Qu'ils infirment ou confirment, ce n'est pas à moi de leur demander." Le suspense est donc maintenu. Sébastien Bourdais deviendra-t-il un PPE (Passera pas l'été) ou a-t-on assisté à une énième rumeur estivale non fondée ? Réponse dimanche soir.

Il est viré visiblement et serait remplacé par un jeunot de 19 ans.
Loeb avait postulé pour le remplacer!!!
Sinon Alonzo chez Ferrari ne serait pas d'actualité d'après l'espagnol....mais jusqu'à quand?

Loeb, ça aurait été crédible?

il fera vraisemblablement un gp en fin de saison mais c'est plus un coup marketing, a 35 ans, il n'a aucune chance de se mettre au niveau.

Sinon ben Bourdais, je m'en tape, je le trouve antipathique, et il ne se remet jamais en question, c'est toujours la faute de la voiture, jamais la sienne, c'est le Henri Lecompte de la F1, quand je vois Button lors du Gp de Grande Bretagne qui dit:

"J'ai eu des problèmes avec le set up de ma monoplace mais en même temps mon Co-equipier, avec le même problème est qualifié 2eme", lui, se remet en question.

Bref je n'ai jamais apprecié Bourdais, du coup: Bon vent!

Ca prouve encore une fois que les championnats de caisses aux USA n'ont pas le niveau de la F1.